Transmettre Cyrano, aujourd’hui ou demain, n’est jamais chose inutile. C’est permettre à une œuvre poétique de 1897 de passer de génération en génération, emmenant avec elle un jeu avec la langue et le vers, une certaine idée du grand siècle et plus largement de la grandeur, un goût pour le théâtre et sa mise en abîme… grâce à des vecteurs attachants et consensuels : la beauté, la jubilation et la tendresse.